Sacré

Dans cette rubrique :

• la musique sacrée proprement dite, importante pour une communauté sur le plan religieux ;
• la musique spirituelle, permettant d'élever l'âme vers le divin, sans forcément s'inscrire dans une pratique religieuse ;
• la musique religieuse, consacrée par des textes religieux

(source Wikipedia, Musique sacrée)

D'autre part, les œuvres citées sont regroupées par compositeur 

Très certainement conscient de son génie, il n'a cherché ni la gloire ni les honneurs : ses nombreux manuscrits se terminent par S. D. G., Soli Deo Gloria (La gloire est à Dieu seul). Il a porté l'art du contrepoint et de la fugue à son apogée. Pratiquement tombé dans l'oubli dès son décès, il a été "ressuscité" au XIXe s. par Felix Mendelssohn.

• Cantate 147, plus connue sous son incipit Jésus, que ma joie demeure
• Choral n°  1
• Choral n° 3
• Choral n° 63
• Passion selon saint Jean, choral final

Bach, 1715

Exact contemporain de J. S. Bach. Après plusieurs séjours en Allemagne et en Italie, il se fixe en Angleterre en 1712. Son talent lui attire les faveurs de la famille régnante. Beaucoup de ses œuvres sont connues dans le monde entier.

• Canticorum jubilo
• Hallelujah , extrait de l'oratorio Le Messie (1741)

Haendel, 1727

Compositeur russe. Dès l'âge de 7 ans, il intègre le chœur de la Chapelle Impériale à Saint-Petersbourg. Il écrit aussi bien du profane (pour piano, pour orchestre, opéras) que du religieux.

• Tibie Paiom

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Bortniansky, 1788

Mort prématurément, il a écrit près de 900 compositions dans tous les styles pratiqués à son époque.

• Ave verum corpus, une des œuvres les plus chantées par les chorales d'amateurs.

Mozart. Peinture posthume, 1819

Mort à 31 ans, il laisse un catalogue de plus de 1000 œuvres.

• Ave maria, Harmonisation et arrangement vocal de Gabriel Dehé.
• Zum Sanctus

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Schubert. Peinture posthume, 1875

Virtuose du piano, il est surtout connu par ses compositions et ses transcriptions pour cet instrument ; beaucoup de ses œuvres vocales sont peu connues.

• Ave Maria

Liszt en 1847

Compositeur allemand né en Pologne. Son domaine de prédilection est la litugie des synagogues. De nos jours, sa musique est toujours très chantée à travers le monde.

• Psaume n° 103

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Lewandowsky. Timbre de la Deutsche Post, 1990

Ce compositeur autrichien, très dévôt, dédie sa neuvième et dernière symphonie à Dieu. Il compose beaucoup de musique religieuse : messes, psaumes, motets, chorals... L'orgue est son instrument de prédilection.

En moindre quantité, il écrit aussi de la musique vocale profane et quelques pièces pour piano ou pour orgue.

• Locus Iste (Ce lieu a été créé par Dieu), pour la dédicace de la chapelle votive de la nouvelle cathédrale de Linz , 1869.

Bruckner, vers 1860

08 geistliches lied (0 b)Compositeur allemand, également pianiste virtuose et chef d'orchestre.

• Geistliches Lied (1856), pour clavier et choeur, à l'architecture incontestablement structurée : Ténors et Sopranos se répondent en canon à l'intervalle de seconde, tandis que Basses et Altos se répondent de la même façon.

Brahms, 1889

Un des plus grands compositeurs français de son époque. Sa production est très variée : piano, musique de chambre, vocale, orchestrale. Il maîtrise parfaitement l'harmonisation, qui sait rester subtile et forte à la fois.

• FAURE CANTIQUE DE JEAN RACINE œuvre magistrale et émouvante, qu'il compose à l'âge de 20 ans !

Fauré, 1889

Certains compositeurs ont découvert la musique en même temps que le biberon. Gretchaninov, lui, a 14 ans la première fois qu'il voit un piano. C'est à 17 ans qu'il entre au conservatoire de Moscou, à l'insu de ses parents : son père rêvait de le voir reprendre sa succession dans les affaires. Il a écrit beaucoup de musique, même si sa production n'atteint pas, en quantité, celle de Mozart ou Schubert.

• Cantate Domino

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Gretchaninov, 1910

Compositeur hongrois, issu d'une famille de musiciens : père violoniste, mère pianiste. Lui-même prend des cours de piano, d'alto, de violoncelle, d'orgue. Sa production est plutôt axée sur la musique sacrée (il compose une messe à 16 ans !).

• Stabat Mater

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Kodály, 1930

Amazing grace, cantique chrétien anglophone très célèbre. L'auteur, John Newton (1725-1807), connu pour sa débauche morale, commande un navire négrier. Une violente tempête met à mal bateau et équipage au point que le commandant se convertit au christianisme. Ayant survécu, il devient prêtre, renonce au trafic d'esclaves et milite pour la cause abolitionniste.